WikiRecherche

la démocratisation du savoir

Synthèse – Conclusion

FIL ROUGE

Introduction

Première partie – La création encyclopédique

Deuxième partie – Accéder au savoir

Conclusion

A travers les différentes pistes que nous avons tenté de dégager dans ce blog, nous avons pu nous apercevoir que les encyclopédies évoluent. On les trouve désormais sur Internet. Elles sont collaboratives pour la plupart et s’inscrivent donc dans la lignée des outils tels que le wiki. Ainsi, le public peut devenir auteur et éditeur de l’encyclopédie. Le public devient indispensable à la création des encyclopédies. C’est lui qui montre quels sont les intérêts majeurs, les sujets qui passionnent les internautes.

Les encyclopédies sont destinées à être lues, mais leur lecture se fait différemment de celle d’un roman et d’une encyclopédie papier. Il y a une certaine facilité d’utilisation permise par les liens hypertextes. Les internautes trouvent plus facilement des sujets d’actualité qui correspondent à leurs requêtes. Ils ne font pas une lecture continue mais une lecture en fonction de leurs centres d’intérêts, en naviguant entre les différents articles.

Finalement, ces encyclopédies collaboratives renouvellent l’accès au savoir et introduisent la notion de démocratisation des connaissances : chacun peut partager ses connaissances à travers des articles.

13, décembre 2008 Posted by | Synthèse | , , , , | Laisser un commentaire

Synthèse – Deuxième partie : Accéder au savoir

FIL ROUGE

Introduction

Première partie – La création encyclopédique

Deuxième partie – Accéder au savoir

Conclusion

Le partage des connaissances est simplifié. Tout un chacun peut participer et partager ses connaissances dès lors qu’il possède un ordinateur ainsi qu’une connexion à Internet. L’interface et l’agrémentation d’articles ne demandent pas de connaître et de savoir utiliser le langage HTML : il suffit juste d’intégrer du contenu dans un modèle prédéfini qu’est celui des objets collaboratifs tels quel le wiki. On peut d’ailleurs noter que les encyclopédies participatives construites sur ce mode du wiki se ressemblent beaucoup au niveau de l’interface, de la présentation des articles… Dès qu’il se trouve dans ces encyclopédies, l’internaute sait où il est, il sait comment naviguer et n’est ainsi jamais perdu.

Par ailleurs, l’accès au savoir est plus simple dans les encyclopédies participatives. En effet, les encyclopédies du web multiplient les accès au savoir : moteurs de recherche, arborescences, classifications par thèmes… Internet permet un gain de place : il n’y a pas besoin d’avoir tous les volumes et d’acquérir les mises à jours tous les ans : Internet permet une mise à jour régulière et donc des articles sur des sujets d’actualité. Internet permet une recherche par clic et donc une optimisation du temps dans les recherches. En effet, même s’il n’est pas possible d’affiner sa recherche dès la première requête, l’utilisateur peut se servir des renvois par liens hypertextes et de l’arborescence (du thème le plus général à l’article le plus spécifique) où les termes sont clairs et explicitent bien le sujet dont ils parlent.

Cependant ces encyclopédies participatives, gratuites proposent-elles un accès complet, à tous les sujets de la connaissance ? Un accès complet à tous les sujets de la connaissance impliquerait une exhaustivité, or il est impossible de couvrir toutes les actualités étant donné la vitesse à laquelle elles se développent. De plus, certaines sont éphémères et n’ont peu être pas lieu d’être dans une encyclopédie : à quel titre certaines informations devraient se trouver ou non dans une encyclopédie, rester dans les mémoires ? Dans les encyclopédies participatives, tous les articles sont rédigés par des contributeurs, des internautes lambda : on ne sait rien sur leur vie, s’ils sont spécialisés ou non dans le domaine dans lequel ils publient. Mais en tous cas, les internautes publient dans le(s) domaine(s) au(x)quel(s) ils s’intéressent, et souvent, ils écrivent plus sur des sujets d’actualité, sur les nouvelles technologies, sur les « people »… Ainsi, on peut constater des manques, dans les encyclopédies participatives, par rapport aux encyclopédies papier ou aux encyclopédies payantes. Il faut toutefois noter que les encyclopédies payantes offrent la totalité de leur contenu uniquement à leurs abonnés. Dans un sens, on peut donc dire que les encyclopédies collaboratives offrent un contenu plus complet que les encyclopédies payantes, à un internaute lambda, qui n’a pas envie de s’abonner, de payer, pour accéder à la culture.

Toutefois, on peut s’interroger sur la véracité des propos des encyclopédies participatives et gratuites. N’étant pas rédigés par des professionnels, comme nous avons pu le voir (contrairement aux encyclopédies payantes), on peut se demander à quel titre ces articles font autorité. L’encyclopédie Larousse a contré ce problème en proposant à la fois des articles rédigés par des spécialistes (les contenus Larousse) et des articles rédigés par des contributeurs, des personnes lambda (les articles des contributeurs) : l’internaute qui fait une recherche a alors le choix de regarder uniquement le contenu des spécialiste, celui des contributeurs, ou de comparer les deux.

13, décembre 2008 Posted by | Synthèse | , , , , , , , , , , , | Un commentaire

Synthèse – Première partie : La création encyclopédique

FIL ROUGE

Introduction

Première partie – La création encyclopédique

Deuxième partie – Accéder au savoir

Conclusion

La création encyclopédique sur Internet n’est pas si différente que sur papier. Certes, les modes de travail, les outils employés et les auteurs ne sont pas les mêmes mais le but de la rédaction demeure le même : il s’agit de diffuser le savoir à un maximum de personnes le plus rapidement possible, le plus simplement possible et le plus « fiablement » possible !

Sur le web, l’internaute a le choix entre les encyclopédies collaboratives et d’autres qui ne le sont pas. Ces dernières diffusent des informations peut-être plus avérées que les autres, du moins c’est que l’on peut penser à première vue, puisque les auteurs sont des professionnels des articles qu’ils rédigent. Au contraire, dans les encyclopédies participatives, telles que Wikipédia, les informations écrites sont plus difficilement vérifiables. En effet, il n’y a pas de « contrôle éditorial », au sens de relecture et correction des erreurs, par une tierce personne.

Les articles et les auteurs, cachés derrière des pseudonymes, ne sont donc pas toujours à prendre comme des puits de savoir vrai. Ces auteurs ne prennent pas la responsabilité de leurs écrits, parce qu’il est impossible de les « poursuivre » pour divulgation de fausse information. En effet, sur Internet, le chemin vers l’identité véritable d’un internaute est très complexe. Ainsi, tout le monde peut se proclamer auteur, chercheur, spécialiste d’un sujet… C’est pour cette raison principalement, que les administrateurs de Wikipédia conservent toutes les anciennes versions des articles rédigés par les internautes : signaler dans la « Licence d’utilisation » de l’encyclopédie (lien direct ici), cette clause permet de suivre les différentes étapes de création et de correction d’un article par un ou plusieurs auteurs. Ainsi, le travail est surveillé, pour éviter tout débordement possible : articles racistes, publicitaires, etc.

Dans la rédaction des articles sur toute encyclopédie du web, les auteurs recherchent la neutralité de leur propos, afin de s’approcher au mieux du projet de l’encyclopédie par Diderot, et pour que le lecteur se fasse personnellement sa propre opinion sur la question.

Enfin, les encyclopédies du web et les encyclopédies papier se ressemblent du point de vue de leur organisation, à savoir les renvois vers d’autres articles, qui se traduisent sur l’interface web par les « liens hypertextes ». La navigation dans le corps de l’encyclopédie est ainsi facilitée par le clic de souris qui remplace les longs moments de feuilletage de l’ouvrage papier.

Ainsi, tout le travail des encyclopédistes sur Internet est de trouver une certaine légitimité de leur travail, pour que le savoir soit encore diffusé au grand public, de manière toujours plus rapide, plus simple et plus fiable.

13, décembre 2008 Posted by | Synthèse | , , , , , , , , , | Laisser un commentaire

Synthèse – Introduction

FIL ROUGE

Introduction

Première partie – La création encyclopédique

Deuxième partie – Accéder au savoir

Conclusion

Depuis les origines, les encyclopédies se veulent un moyen d’accéder au savoir, et de partager des connaissances. Elles ne sont pas exhaustives mais tentent de combattre l’obsolescence par plusieurs moyens : par exemple, sur papier, il y a régulièrement des volumes de mise à jour (par exemple, pour Universalis, il y en a un par an). Les éditeurs multiplient les supports : en plus de la publication papier, on a pu trouver une publication sur CD-ROM (de moins en moins répandue aujourd’hui). Avec le développement d’Internet, on a pu trouver les encyclopédies sur la toile.

C’est pourquoi on peut se poser la question suivante : comment organiser et accéder au savoir aujourd’hui sur Internet ?

De nouveaux modes d’écriture apparaissent aujourd’hui sur le web, tels que les blogs, les wiki… : toute personne ayant accès à un ordinateur et à Internet peut alors devenir auteur, publier du contenu et le partager. C’est en ce sens que les encyclopédies évoluent : beaucoup se construisent sur le mode participatif, ce sont les internautes qui contribuent au partage et à la création de la connaissance. Dès, la notion de démocratisation du savoir est introduite : le savoir est plus facilement accessible à tous. Afin d’expliquer cela, nous avons décidé de nous interroger sur la création encyclopédique, puis sur l’accès au savoir.

12, décembre 2008 Posted by | Synthèse | , , , , | Laisser un commentaire

Laboratoire – Encyclopédies payantes versus encyclopédies gratuites

Même avec la publication sur le web, toutes les encyclopédies ne sont pas gratuites et toutes ne donnent donc pas accès au savoir de la même manière.

Dans les encyclopédies payantes sur Internet (telles que Universalis, Encarta, Encyclopédie Hachette multimédia…), les articles sont accessibles uniquement aux abonnés ou alors l’internaute lambda (non abonné) peut lire un extrait des sujets. Ceci remet en cause l’accessibilité au savoir et la démocratisation du savoir. Cependant, les textes et autres médias disponibles sur ces encyclopédies ont tendance à être plus légitimés : ils sont en effet créés par des professionnels, payés en partie grâce aux ventes des produits et aux abonnements.

Les encyclopédies gratuites sont collaboratives. Elles introduisent la notion de démocratisation des connaissances, de mise à disposition et le partage des savoirs par les internautes (le public lambda) eux-mêmes. Néanmoins, contrairement aux encyclopédies rédigées par des professionnels, celles qui sont gratuites et participatives sont remises en cause, elles ont du mal à être légitimées, notamment à cause des auteurs anonymes ou qui se cachent derrière un pseudo. Dans le cas de l’Encyclopédie gratuite, on ne sait rien sur sa création, sur celui qui l’a impulsé, si elle est contributive ou l’œuvre d’auteurs rémunérés, on ne sait pas qui rédige les articles…

11, décembre 2008 Posted by | Laboratoire | , , , | Laisser un commentaire

Sources – Quelques encyclopédies citées

Voici les liens vers des encyclopédies que nous avons citées dans nos posts.

ENCYCLOPÉDIES GRATUITES

Encyclopédie gratuite

Encyclopédies collaboratives construites sur le mode du wiki

Wikipédia

Conservapedia

Scholarpedia

Uncyclopedia

Citizendium

Admipedia

Autres encyclopédies collaboratives

Knol

Everything2

Encyclopédie semi-collaborative

Larousse.fr

ENCYCLOPÉDIES PAYANTES

Encyclopédie Hachette multimédia

Universalis

Encarta

Pour d’autres liens sur le même thème, consultez notre profil Delicious et les liens des autres contributeurs !

10, décembre 2008 Posted by | Sources | , , , | Laisser un commentaire

Laboratoire – Encyclopédies sur Internet : une facilité d’utilisation ?

clicComme nous l’avons déjà dit, les encyclopédies participatives et gratuites sur Internet permettent une certaine facilité d’utilisation. Elles sont en effet accessibles de n’importe quel ordinateur et tous les internautes peuvent y ajouter des articles. Il y a donc une démocratisation du savoir qui s’y installe, à laquelle s’ajoute une facilité d’utilisation. Le clic permet une souplesse dans la recherche : l’internaute n’est pas obligé de consulter tous les volumes puisque les renvois se font grâce à des liens hypertextes. Cela permet ainsi un gain de place et une manipulation plus simple. Par ailleurs, il y a un gain de temps : les encyclopédies proposent un moteur de recherche, pour éviter à l’internaute d’avoir à chercher dans l’index et de perdre trop de temps, chose inévitable dans les encyclopédies papier. Par exemple, dans Everything2 ou Knol, il faut taper une requête : on n’est pas sûr, avant le résultat final, de trouver un article sur le sujet cherché. Mais certaines encyclopédies collaboratives telles que Wikipédia proposent une arborescence thématique, où les rubriques sont claires, explicites, et les appellations bien connues du public. Larousse.fr, quant à elle, donne accès à un moteur de recherche : l’utilisateur peut ensuite choisir parmi les contenus Larousse (« articles Larousse », « médias Larousse », « chronologie Larousse », « citations Larousse », « statistiques Larousse ») ou les contenus des contributeurs (« articles des contributeurs », « images des contributeurs »). En revanche, il n’y pas d’arborescence.

Mais au-delà de cette apparente facilité d’utilisation, les internautes peuvent-ils trouver tout ce qu’ils veulent dans les encyclopédies numériques collaboratives ?

Nous avons pu remarquer des manques dans les encyclopédies collaboratives. Sur Larousse.fr, ce phénomène est moins visible : en effet, il y a un contenu rédigé par des spécialistes, des professionnels, préexistant à la présence de Larousse sur Internet et à son ouverture à la contribution. En revanche, pour les encyclopédies totalement participatives, on compte beaucoup plus de sujet d’actualités que de sujets habituellement présents dans les encyclopédies papier. Aucune encyclopédie n’est exhaustive, il y a toujours des sujets non traités, ne serait-ce que parce qu’elles deviennent rapidement obsolète. Néanmoins, il serait logique que les sujets non traités, comme dans les encyclopédies papier, soient des sujets plus actuels, qui sont arrivés après la parution. Face à ce constat, les internautes peuvent-ils vraiment tout trouver dans ces encyclopédies ? La démocratisation du savoir est-elle totale ? L’accès au savoir est-il complet ?

9, décembre 2008 Posted by | Laboratoire | , , , , | Laisser un commentaire

Laboratoire – La neutralité en question

Voici un article qui devrait répondre aux questions qu’un internaute nous a posées via un commentaire…

À partir du moment où tout internaute peut rédiger un article sur un sujet, il doit chercher à obtenir un article le plus objectif et le plus neutre possible. En effet, l’encyclopédie se doit d’être un puits de savoir accessible à tous, mais où il n’est pas question de publicité ou de transmission d’opinions personnelles. Le but de la démocratisation du savoir est de pouvoir se forger sa propre opinion à la lecture d’un article, qui ne fasse pas polémique.

Sur Internet, comment gérer cette recherche de la neutralité puisqu’on ne connaît pas réellement les auteurs, qui se cachent derrière des pseudos ?

Wikipédia permet à tous de s’exposer « tout en gardant l’objectif de réaliser un article synthétique neutre, gommant les partis pris ». Mais cette recherche de neutralité peut-elle admettre que tous les points de vue se valent ?

En effet, à partir du moment où tout le monde peut participer à un article, chacun peut exprimer ce qu’il pense ou encore faire de la publicité.

Nous avons fait l’essai sur l’encyclopédie Wikipédia : dans un article traitant de la langue des signes, nous avons rajouté un lien externe vers un site marchand, qui produit et vend des méthodes d’apprentissage de la langue des signes. Le lendemain, ce lien avait été supprimé par les administrateurs de Wikipédia.

Cela signifie qu’il existe des personnes qui gèrent le contenu des articles, qui surveillent les propos écrits, pour empêcher toute publicité ou pour ôter des propos racistes, discriminants, politiquement incorrects. Certes il existe une surveillance mais l’internaute doit sans cesse vérifier ses informations et prendre du recul par rapport à ce qu’il lit pour éviter toute adoption aux propose tenus.

7, décembre 2008 Posted by | Laboratoire | , , , | Laisser un commentaire

Laboratoire – Renvois internes et image du cercle

cercle

Selon Henri Meschonnic, l’encyclopédie peut être représentée par l’image d’un cercle. En effet, l’une des principales différences entre le dictionnaire et l’encyclopédie est la présence de « renvois » dans l’encyclopédie. Ces renvois enferment l’encyclopédie dans un cercle figé, dans le présent, puisque les informations sont complétées par d’autres, rédigées sur une autre page.

Prenons un exemple : dans l’encyclopédie Universalis, si le lecteur se place sur le terme Soleil, il peut y voir un renvoi aux termes de Système solaire, d’Étoile, de Planète.

Cette présentation en renvois existe également dans les encyclopédies disponibles sur le web. La seule différence vient de l’organisation de ces renvois. En effet, sur un ouvrage papier, les renvois entrainent très souvent un changement de page : le lecteur doit donc faire la démarche de chercher le nouveau terme, dans le classement de l’encyclopédie. Sur le web, la démarche est nettement plus simple : les termes reliés et traités sont installés dans l’article sous forme de liens hypertextes. Voici une illustration par le premier paragraphe de l’article Soleil sur l’encyclopédie Wikipédia :

Le Soleil (Sol en latin, Helios ou Ήλιος en grec) est l’étoile centrale du système solaire, notre système planétaire. Il est composé d’hydrogène (74% de la masse ou 92,1% du volume) et d’hélium (24% de la masse ou 7,8% du volume)[2]. Autour de lui gravitent la Terre, 7 autres planètes, 5 planètes naines, des astéroïdes, des comètes et de la poussière. Le Soleil représente à lui seul 99,86 % de la masse du système solaire ainsi constitué (Jupiter représente presque tout le reste).

Les renvois sont visibles par leur soulignement et leur couleur bleue. En cliquant dessus, l’internaute et lecteur parviendra directement sur l’article traitant du terme en question. Il n’est donc plus question de changement de page, de perte de temps entre chaque article ni d’égarement du lecteur. Cette démarche plus simple sur les encyclopédies disponibles sur Internet ou sur CD-Rom permet une rapidité de réponse et ainsi, une proposition plus agréable de recherche. En effet, grâce aux liens hypertextes, le lecteur devient passif : l’information vient à lui, sans qu’il ait vraiment d’effort à faire.

17, novembre 2008 Posted by | Laboratoire | , , , , | Laisser un commentaire

Laboratoire – Une interface qui profite à l’interactivité

L’apparition massive des blogs, des wikis… véhicule l’idée d’une simplicité d’utilisation, mais également d’appropriation : tout le monde peut utiliser ces outils, tout le monde peut contribuer au partage et à la constitution de la connaissance.

Dans chacune des encyclopédies étudiées, nous avons pu observer l’influence des blogs : dans Wikipédia, tout le monde peut modifier un article à sa guise, faire des ajouts ; sur Larousse.fr, le système des commentaires est bien présent (le créateur de l’article étant le seul à pouvoir le modifier) ; sur Everything2, il est par exemple possible de féliciter un « auteur » pour son article en cliquant sur « I like it »… Enfin, il faut noter que tous ces exemples nécessitent, comme pour les blogs, de se créer un compte. Il y a donc, dans chacune de ces encyclopédies une interface qui profite à l’interactivité, qui invite l’internaute à participer, à partager ses connaissances, mais également à commenter, modifier, comme dans d’autres modèles collaboratifs tels que le blog.

12, novembre 2008 Posted by | Laboratoire | , , , , | Laisser un commentaire